La Tour Sombre
Le septième tome conclut enfin la quête de Roland de Gilead.
Sept : nombre magique, nombre symbolique : la totalité de l’espace et du temps, la totalité de l’univers en mouvement. Nombre mythologique, biblique, Islamique, talmudique…7 pas un de plus, ni un de moins.
Je ne suis pas une fan absolue de Stephen King. Je le fus, certes, mais nombre de ses derniers livres ne m’ont pas vraiment touchée. La Tour Sombre échappe cependant à cette règle. Roman de Fantasy-Western où se rencontrent beaucoup de thèmes et de personnages de l’univers romanesque de l’auteur qui aura mis 34 ans à l’achever .
Je ne ferai pas l’éloge ni n’éreinterai ce dernier tome. On aime La Tour Sombre ou pas. Si le premier tome vous a happé comme il l’a fait pour moi il y a quelques années, vous marcherez aux cotés du Pistolero avec plaisir.
L’homme en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le suivait.