Cellulaire
Depuis quelques années je trouvais que les livres de Stephen King avaient changé.
Je n’ose dire qu’ils étaient moins bons, parce ce que c’est SK tout de même ! Un dieu du fantastique, un sacré bonhomme avec une culture extraordinaire, des idées formidables et je l’adore. Mais je ne suivais plus vraiment son actualité. Sauf pour La Tour Sombre, parce que : La Tour Sombre, quand même !!!
Ses romans étaient devenus un peu moins palpitants à mon goût… Trop longs, très cérébraux… Je ne sais pas comment les décrire. Peut-être suis-je passée à côté de leur signification parce qu’en lisant La Tour Sombre, tout prend son sens. Mais, personnellement, depuis Insomnie j’avais un peu lâché l’affaire. Je n’ai même pas lu l’avant dernier : Roadmaster.
Et là Olivier m’offre Cellulaire. Miracle : du SK à la mode de Simetierre, de The Shinning, de Ça, de l’amitié, un parcours initiatique, du rebondissement, du suspense, des scènes d’horreurs inspirés des plus grands mythes du cinéma d’horreur. Un petit chef d’œuvre du genre.
Et comme on dit sur mon site préféré : Cellulaire, c’est bon, mangez-en !